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Foire aux questions

La foi bahá’íe est une religion monothéiste fondée sur les enseignements du Báb et de Bahá’u’lláh. La foi bahá’íe reconnaît la validité de toutes les grandes religions du monde, mais elle n’est ni une secte ni une branche de l’une d’elles. Son caractère indépendant se manifeste par une vision du monde et une structure communautaire uniques, fondées sur ses propres Écrits sacrés, ses lois religieuses et son calendrier.

Les bahá’ís croient que Dieu, le Créateur de l’univers, a éduqué l’humanité tout au long de l’histoire en envoyant des Manifestations de Dieu, qui ont fondé les grandes religions du monde. En ce sens, toutes les religions proviennent d’une même source et font partie d’un processus éducatif continu. Les bahá’ís reconnaissent deux Manifestations de Dieu pour notre époque : le Báb et Bahá’u’lláh.

Dans la foi bahá’íe, il n’existe pas de clergé professionnel ni de catégorie particulière de personnes chargées d’administrer la communauté, de présider des cérémonies ou de fournir une direction spirituelle.

Dans ses Écrits, Bahá’u’lláh a préconisé la mise en place d’un système d’Assemblées spirituelles démocratiquement élues aux échelons local, national et international. La direction de la foi bahá’íe est assurée par la Maison universelle de justice, composée de neuf membres élus tous les cinq ans par les membres des Assemblées spirituelles nationales.

Oui, composé par Bahá’u’lláh et intitulé le Kitáb-i-Aqdas ou « Plus Saint Livre ». Il fait partie d’un vaste ensemble d’Écrits traitant de nombreux sujets, notamment des principes de conduite personnelle et de gouvernance de la société, ainsi que des œuvres mystiques sur le progrès de l’âme et

Le calendrier bahá’í prend pour point de départ l’équinoxe marquant le début du printemps dans l’hémisphère nord. L’année se compose de dix-neuf mois de dix-neuf jours chacun, avec quatre ou cinq jours intercalaires ajoutés entre le dix-huitième et le dix-neuvième mois pour compléter le cycle annuel. Le jour de l’An, appelé Naw-Rúz, est célébrée autour du 20 ou 21 mars, marquant la fin du mois de jeûne. Le calendrier comprend également des jours saints commémorant d’importants événements dans l’histoire de la foi.

Les lois régissant la vie personnelle comprennent la prière quotidienne obligatoire, une période annuelle de jeûne, ainsi que des interdictions telles que la médisance, le jeu, l’engagement dans la politique partisane et l’usage d’alcool ou de drogues à des fins non médicales. Les bahá’ís ont le devoir d’exercer un métier ou une profession, et de veiller à l’éducation morale et scolaire de leurs enfants.

Bien qu’il n’y ait pas de restrictions alimentaires dans la foi bahá’íe, la consommation de boissons alcoolisées ainsi que l’usage non médical de drogues narcotiques et hallucinogènes sont interdits.

Les bahá’ís louent Dieu par la prière et la méditation. Les réunions de prière incluent la lecture de prières et de passages des Écrits de la foi bahá’íe ainsi que d’autres religions. Selon les enseignements bahá’ís, le travail accompli dans un esprit de service est également considéré comme une forme d’adoration.

La vision bahá’íe du mariage met l’accent sur l’égalité des partenaires dans une union monogame, où l’homme et la femme contribuent tous deux au bien-être de la famille. Le mariage est considéré comme une « forteresse pour le bien-être et le salut », l’éducation des enfants étant un objectif primordial, bien que ce ne soit pas le seul. La famille est vue comme l’unité fondamentale de la société, et des familles fortes et aimantes sont essentielles au progrès de l’humanité.